“Les PME et ETI disposent encore d’atouts avec des taux de marge qui ont continué de résister, des taux d’endettement qui ont diminué et une trésorerie toujours solide. Dans le même temps, 2024 a été marquée par un ralentissement de l’activité et des coûts de financement toujours en hausse. Au total, la capacité de remboursement des PME et ETI françaises, à l’horizon d’un à trois ans, s’est légèrement dégradée en 2024”, résume une étude de la Banque de France qui a exploité les comptes annuels 2024 de 1,6 million d’unités légales, regroupées en 1,4 million d’entreprises au sens de la loi de modernisation de l’économie (LME).

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